Mon mot d'Amour
Lettre d’Amour…
Ma future chérie qui m’aime pas encore mais que déjà moi j’aime,
Je t’envoie cette lettre car ce qui est écrit je n’ose te le dire du haut de ma timidité.
Tes yeux verts me rappelle l’étang glauque ou jeune garçon j’aillais pêcher la brème.
Ton petit nez pointu me rend le souvenir de Woody Wood Picker, mon préféré dessin animé.
Je t’écris en vers…envers et contre tout…surtout ta mère !
Comment une taupe à t’elle pu engendrée une si jolie souricette ?
Le jour ou ses cuisses se sont ouvertes elle aurait du s’épiler la foufounette,
Car dépassant de tes aisselles, ton héritage génétique velu me laisse pantois.
Tu est belle comme un sapin de Noël auquel on aurait mis des boules en bois !
Quand tu souris, tes ratiches jaunâtres nicotinées me délecte de ta douce haleine vinifiée.
Les poils de tes narines me font songer à des évents de baleine des mers du Sud de l’épicerie du coin.
Tu te rappelles, Mon Amour, notre merguez partie chez Abdoul… 8, rue du Boudin à Evian-les-Bains ?
L’Harissa te chauffant l’intimité, tu à sombrée dans la source avant de rencontrer Dame Morphée.
Une nuit merveilleuse au doux son des tes ronflements de truie en rut….
Sans l’ivresse de tes sens je me serai permis de te demander une turlutte…
Ah l’Amour…Ma chérie…Que je m’aime !
Même ton pyjama à pois verts et tes chaussettes roses, au lit, me font frémir.
Lors du coït royal, ta bienveillance me rappelle le découvert bancaire que je laisse courir.
Ah L’argent…Ma Chérie…Que tu l’aimes.
Ton nombril…nid d’animaux rares…est la gloriole de ta belle et grasse bidoche !
Pas loin. Suivant l’odeur, ton vagin océanographique m’offre ses senteurs marines, l’éloge !
Caressant tes jambes comme une toile émeri, je n’ose te peloter les loches…
Le téton bandant, l’ensemble mammaire pendouillant, je plains le soutien Georges.
L’Amour ne s’arrêtes pas aux cageots, mais toute fille à son charme,
Cette Lettre…C’est pour te dire que les défauts peuvent êtres beaux quand on aime…
Chérie…Je sais que cette missive va te faire frétiller tes odorants orteils,
Mais point n’aurait pu te conter ma poésie à tes jaunes oreilles !